The Motion Within — une âme en musique
The Motion Within est à la fois une vitrine professionnelle et une offrande intime. Sous le nom Welan Edvee (Sylvain Ledy Berry – Cabre), l’album relie la terre rouge de Zékounga et la brume verte d’Irlande : kora, harpe, cornemuse et orchestre dialoguent avec les codes du cinéma, du jeu vidéo, du documentaire et de la publicité. Né d’une histoire d’adoptions, de deuils et de renaissances, ce manifeste de « contextualisme musical » transforme les contextes de vie en architectures d’émotions. Chaque morceau est un pont : entre mémoire et futur, rigueur et tendresse, discipline et lâcher-prise. Composé sur FL Studio, sculpté comme une bande-son intérieure, l’album invite à une écoute lente : marcher, respirer, se relier. Plus qu’un portfolio, The Motion Within remercie ceux qui ont transmis le souffle — et l’offre à ceux qui viendront.
« Je viens de loin, je compose pour demain.
WELAN EDVEE – THE MOTION WITHIN
Un album-vitrine. Une âme mise en musique.
Une histoire, des contextes, une continuité de souffle
Cet album est né d’un besoin viscéral : réunir mes univers pour les faire dialoguer, réconcilier les mondes qui m’habitent depuis toujours.
The Motion Within n’est pas une simple démonstration de styles ni un portfolio professionnel.
C’est un récit en sons, une traversée de mes histoires, visibles et invisibles, individuelles et collectives.
Derrière Welan Edvee, il y a Sylvain Ledy Berry – Cabre.
Il y a l’enfant né à Zékounga, petit village du Burkina Faso,
et les strates de contextes — biologiques, affectifs, culturels, historiques — qui ont façonné son existence.
Mon nom de naissance, Ledy, signifie « celui qui remplace ».
Dans mon village, on disait que ma mère vivait à travers moi.
Je suis né orphelin : ma mère est décédée en me donnant la vie, mon père biologique était déjà parti.
Pour les anciens, ce n’était pas une tragédie abstraite, mais un phénomène spirituel, un passage de souffle.
J’ai grandi dans ce tissage de deuil et de continuité : être en vie, c’était déjà porter les autres en soi.
Après, il y eut la famille Cabre, mes premiers parents adoptifs.
Ils m’ont accueilli, aimé, nommé Sylvain.
Puis la vie, encore, a fauché. Mon père est mort d’une morsure de serpent, ma mère d’une infection dentaire — des drames ordinaires, fréquents à l’époque dans les villages.
Ces pertes successives ont inscrit en moi une mémoire précoce du manque, mais aussi une conscience aiguë de la fragilité des contextes : là où l’on naît détermine souvent les marges de manœuvre de toute une vie.
Et puis, 1994.
Une autre lumière.
Celle de Martine Voisin et Alain Berry, mes parents français.
Ils ont traversé les frontières pour me rencontrer.
Mon père, artiste, illustrateur et musicien, m’a appris la batterie, le rythme, l’écoute du monde.
C’est avec lui que j’ai découvert la musique de films, ces architectures d’émotions qui racontent l’humain sans mots.
Il m’a transmis la conviction que la sensibilité n’est pas une faiblesse, mais un langage.
Quelques années plus tard, un autre son m’a bouleversé : celui de la cornemuse de José Ángel Hevia, dans son album Tierra de Nadie (1998).
J’avais dix ans.
Et j’ai compris que la musique pouvait relier des mondes que tout oppose en apparence : la terre rouge du Burkina et la brume verte de l’Irlande.
Depuis, ces deux paysages — l’un chaud et poussiéreux, l’autre froid et brumeux — cohabitent dans mon cœur, dans ma manière de composer, d’aimer et de comprendre l’humain.
Pourquoi cette histoire compte dans ma musique
Aujourd’hui, en tant qu’homme, père, éducateur et compositeur, je regarde ce parcours à travers une grille contextualiste.
Je ne vois plus mon histoire comme une suite d’événements isolés, mais comme un enchevêtrement de contextes : biologiques, psychologiques, sociaux, culturels, historiques.
Je viens d’une lignée d’héritages invisibles, de trajectoires précaires et résilientes.
Et c’est cela que je traduis dans mes compositions : des musiques qui relient le sensible à l’universel, le local au mondial, la blessure à la beauté.
Mes parents, mes deuils, mes renaissances — tout cela n’a pas fait de moi un survivant, mais un témoin sonore.
Quand je compose, je ne cherche pas à prouver, mais à relier.
Chaque note est une tentative de réparation : une façon d’apaiser les fantômes, de remercier les vivants, de laisser une trace audible du souffle que j’ai reçu.
La musique celtique m’a offert le ciel, la musique africaine m’a donné la terre.
Entre les deux, j’ai construit un pont — celui des âmes, des contextes et des transmissions.
Et ce pont, c’est The Motion Within.
Un mouvement intérieur.
Une continuité de souffle.
Un hommage à tous ceux qui, d’une manière ou d’une autre, ont posé une pierre sur mon chemin.
Une vitrine, un voyage, une mémoire
The Motion Within est un album-vitrine, une œuvre qui traverse mes différents univers de composition :
La musique de films,
De jeux vidéo,
De documentaires,
De publicités et de séries,
Jusqu’à la musique théâtrale et expérimentale.
Chaque morceau représente un univers sonore, une facette de ma créativité, mais surtout une part de moi.
Je compose sur FL Studio et Music Maker, dans mon home studio.
Chaque note est jouée, pensée, sculptée.
Mon processus est toujours le même :
- Je lis ou visualise le scénario, le story-board, ou simplement l’intention d’une image.
- J’observe la psychologie de la scène, les émotions sous-jacentes.
- Puis, je choisis l’instrument porteur d’âme : piano, kora, harpe, guitare, ou synthé.
- Je joue les premières phrases au clavier maître (souvent dans FL Studio), en laissant parler le ressenti avant la technique.
- Ensuite, j’ajoute les textures et les couleurs sonores : nappes orchestrales, percussions, basses, drones, etc.
- Je travaille les dynamiques et respirations : ralentissements, pauses, silences. C’est là que naît la vie.
- Puis je mixe en respectant la courbe émotionnelle : la montée, la chute, le souffle final.
Ce n’est jamais un simple arrangement : c’est une sculpture émotionnelle.
Mon rôle, c’est d’amener l’auditeur à ressentir ce que l’image ne dit pas.
Chaque morceau est un pont entre l’émotion d’un réalisateur, la vision d’un monde… et mon propre cœur.
Les univers de l’album
Chaque titre de The Motion Within est un monde en soi :
The Journey Begins (Le Souffle du Départ)
Le courage du premier pas
Genèse – Une naissance dans le chaos et la lumière
Tout commence à Zékounga, au Burkina Faso.
Une naissance dans le silence brûlant d’un village, sous un ciel trop vaste pour un enfant seul.
Ma mère est morte en me donnant la vie. Mon père était déjà parti.
Et pourtant, dans les récits du village, on ne parlait pas de tragédie, mais de transmission de souffle :
“Ta mère vit à travers toi.”
Ce premier souffle, à la fois don et fardeau, est devenu la pulsation originelle de ma musique.
The Journey Begins est né de ce souvenir fondateur — d’une mémoire que je n’ai pas vécue consciemment, mais que mon corps, mes racines et ma musique portent.
C’est l’ouverture de l’album, mais aussi le commencement de mon récit intérieur : celui d’un orphelin qui apprend à exister sans tuteur, et qui trouve dans la musique une forme d’attachement symbolique.
Ce morceau incarne ce moment fragile et lumineux où la vie commence malgré tout.
Il ne s’agit pas d’un départ triomphant, mais d’une élévation humble, comme un lever de soleil encore hésitant.
Un souffle.
Le souffle du départ.
Construction musicale – Une montée initiatique
Je compose sur FL Studio, accompagné de mon clavier maître et de mes banques orchestrales principales (Spitfire, BBC Symphony, EastWest).
Tout commence par une ligne de cordes : un violoncelle solo qui respire, presque comme une voix humaine.
Il joue une phrase simple, répétée trois fois, avec de légères variations de nuances et d’attaques - le battement cardiaque d’un nouveau départ.
Puis viennent les violons, d’abord voilés, puis de plus en plus présents,
comme si une clarté traversait peu à peu les brumes du souvenir.
Les cuivres apparaissent avec retenue : non pour glorifier, mais pour ancrer.
Le cor français, rond et noble, incarne la force tranquille des ancêtres.
Les percussions — timbales, grosse caisse cinématique, sub-boom discret —
rythment l’ascension : chaque impact évoque un pas, une décision, une résistance à la peur.
L’ensemble du morceau est construit comme une progression narrative, une montée initiatique où chaque section devient un chapitre de vie :
du silence à la respiration, de la peur à la lumière, de l’absence au mouvement.
La musique ne cherche pas à impressionner, mais à témoigner.
Elle avance avec humilité, soutenue par ce souffle premier - celui d’une naissance à soi.
Section
Intention
Éléments musicaux
Intro (0:00 – 0:45)
Le souffle qui s’éveille
Violoncelle solo, pads éthérés, léger tremolo de cordes
Développement (0:45 – 1:45)
La marche naissante
Cordes pleines, pulsation rythmique, cor doux, timbales légères
Climax (1:45 – 2:45)
Le courage de se lever
Cuivres puissants, percussions pleines, harmonies ascendantes, crescendo orchestral
Final (2:45 – 3:00)
L’instant suspendu
Accord tenu, réverbération lente, souffle du vent, silence qui respire
Note d’intention – Dossier professionnel (producteurs / directeurs musicaux / festivals)
Logline musicale
Ouverture orchestrale épique-intime illustrant le courage du premier pas : ascension progressive, noblesse des timbres, souffle intérieur.
Usage visé
Générique d’ouverture, trailer héroïque, scène de révélation / départ, documentaire inspirant.
DAW & Workflow
FL Studio (piano roll + enregistrement MIDI), édition fine des CC (dynamique/modwheel), humanisation des timings.
Banques / Sources
Spitfire (Symphonic/Abbey Road One), BBC Symphony, EastWest Opus (cuivres/perc), pads organiques faits-maison (field textures filtrées).
Instrumentation clé
Cordes larges (80% du tissu), cor français lead, cuivres d’assise (trombones/horns), timbales + grosse caisse ciné, pads aériens subtils. Pas de chœurs.
Tonalité & Tempo
La♭ majeur (couleur “or/vert”), ~80 BPM, 4/4, crescendos par paliers ( +3 dB / section).
Structure synchronisable
Intro 0:00–0:45 (install) → Build 0:45–1:45 (marche) → Climax 1:45–2:45 (élévation) → Release 2:45–3:00 (sustain + tail).
Edit points propres à 0:45 / 1:15 / 1:45 / 2:15 / 2:45.
Durées livrables
Full 3:00 · 2:00 · 1:00 · 0:30 · 0:15 (sting).
Mix / Master
- Headroom mix: −6 dBFS, peak master: −0,8 dBTP, LUFS integrated: −14 (streaming) / −10 (trailer).
- Stems fournis: STR (long/short), BRASS (lead/pad), PERC (timp/grosse caisse), FX/PADS, BASS SUB.
- Alt mixes: No Perc, Strings Only, Underscore (sans thème), Ambient Tail (10 s).
Technique & Delivery
48 kHz / 24-bit WAV + MP3 320 kbps, bounces bar-aligned, metadata (ISRC/Contact).
Licences & splits prêts pour synchro.
Signature Welan Edvee
Épique sobre, spirituel, orchestral moderne centré sur l’émotion vraie (tension → lumière), sans surcharge ni clichés.
Echoes of Home (Les Murmures du Foyer) – la mémoire et la tendresse.
La mémoire et la tendresse
Genèse – La maison, le souvenir, le silence
Un piano se souvient.
Chaque note est une pièce de ton enfance, chaque silence une absence apprivoisée.
Echoes of Home n’est pas seulement un morceau sur la nostalgie — c’est une musique de racines.
Une conversation intime entre ce qui reste et ce qui s’efface.
J’ai composé ce titre un soir où ma maison était silencieuse. Les enfants dormaient, et j’ai senti ce vide doux que seuls les lieux habités savent garder.
Ce moment suspendu où le temps semble respirer avec toi.
Ce morceau, c’est le souvenir sonore d’un foyer : celui de Zékounga, celui de mes parents Cabre, celui de mes parents Berry, et celui que j’ai bâti aujourd’hui avec ma femme et mes enfants.
C’est aussi la manière dont la musique m’a toujours relié à ces “présences absentes”.
Construction musicale – La respiration de la mémoire
Je l’ai composé sur FL Studio, comme souvent, tard le soir.
Je pars du piano - mon instrument-refuge.
Je ne programme pas de suite : je joue, d’abord, avec mes mains, les yeux fermés.
Les notes tombent, certaines restent, d’autres s’échappent.
Je garde les accidents, les respirations, les silences entre deux idées.
Car la mémoire, c’est aussi ça : les vides entre les souvenirs.
Une fois la base jouée, je travaille la dynamique manuellement :
micro variations de vélocité, légers retards sur le tempo (−10 ms), sustain prolongé, réverb longue.
Ensuite, je tisse le violoncelle : une voix intérieure, humaine, presque paternelle.
Il ne joue pas la mélodie principale, il la prolonge, la réchauffe, la comprend.
Puis viennent des nappes d’air chaud - des pads faits maison avec mes field recordings (souffle dans le micro, bruit du vent filtré, frottement d’un drap).
Elles symbolisent la chaleur invisible de la maison : ce qui ne se voit pas, mais qu’on ressent.
Intention émotionnelle et symbolique
Echoes of Home parle d’attachement et de mémoire affective.
C’est une musique sur le lien qui survit au départ, sur les empreintes que laissent ceux qu’on a aimés.
J’y explore la notion de foyer psychique : ce lieu intérieur où l’on revient quand plus rien ne tient dehors.
C’est une pièce douce, simple, sans éclat, mais pleine d’une tendresse obstinée.
Elle évoque ma manière de vivre la parentalité, l’amour, et la transmission :
faire sentir à l’autre qu’il a une place, même dans le silence.
Palette sonore et textures
- Instruments principaux : Piano solo, violoncelle, pads atmosphériques (textures organiques).
- Techniques : Superposition subtile de reverb (Valhalla), EQ douce vers 5–7 kHz, comp légère parallèle.
- Espace : Mix large, focal central sur le piano, reverb latérale pour la sensation de profondeur.
- Couleurs dominantes : Ambre, bois, poussière, lumière dorée de fin de journée.
- Durée : 2 min 30.
Résonance personnelle
Quand j’écoute ce morceau, j’ai toujours cette sensation étrange : celle d’entendre mon père poser la main sur mon épaule.
C’est une musique de gratitude, pas de tristesse.
Elle me rappelle que les absents continuent de vivre à travers nos gestes, nos choix, nos enfants.
C’est le foyer comme métaphore du temps : on s’y perd, on s’y retrouve, on s’y reconnaît.
Note d’intention – Dossier professionnel (producteurs / directeurs musicaux / festivals)
Logline musicale
Pièce intime pour piano et violoncelle, centrée sur la mémoire émotionnelle et la chaleur humaine.
Convient aux récits introspectifs, documentaires sensibles, scènes de retrouvailles ou de nostalgie douce.
Usage visé
Film d’auteur, documentaire personnel, publicité émotionnelle, projet narratif contemplatif.
DAW & Workflow
FL Studio (MIDI + enregistrement live quantifié manuellement), utilisation du piano roll pour corrections micro-timing, automation dynamique sur expression et sustain.
Banques / Sources
Piano (Spitfire Felt + Noire), Violoncelle (BBC Symphony / Solo Cello Expressive), pads fabriqués à partir de field recordings (vent, respiration, tissus).
Instrumentation clé
Piano feutré solo, violoncelle expressif, textures organiques et discrètes.
Aucune percussion. Minimalisme assumé.
Tonalité & Tempo
Ré majeur · 72 BPM · 3/4.
Progression harmonique cyclique pour donner l’effet de souvenir en boucle.
Structure synchronisable
Intro 0:00–0:30 (mise en place) → 0:30–1:30 (dialogue piano/violoncelle) → 1:30–2:15 (développement) → 2:15–2:30 (release fade).
Édits : 0:30 / 1:00 / 1:30 / 2:00.
Durées livrables
Full 2:30 · 1:00 · 0:30 · 0:15 (sting piano solo).
Mix / Master
LUFS: −16 (streaming), −13 (film)
48 kHz / 24-bit WAV + MP3 320 kbps.
Stems: Piano / Strings / Pad Ambience / FX Tail.
Reverb masterisée : convolution IR room (Scoring Stage B).
Signature Welan Edvee
Émotion retenue, humanité sincère, écriture minimaliste à profondeur symbolique.
Chaque silence compte. Chaque note a un visage.
Rise of the Light (L’Éveil de la Lumière) – le dépassement et la foi.
Le dépassement et la renaissance
Genèse – Quand le corps devient prière
Ce morceau est né dans le silence après l’effort.
Ce moment très précis, entre la sueur et la paix, quand le corps ne lutte plus mais respire.
Rise of the Light parle de renaissance.
C’est la musique du renouveau, de la reconstruction intérieure après les tempêtes.
Elle vient de ma pratique de la musculation et des sports de combat — pas dans leur aspect de performance, mais dans leur rituel du dépassement : la rigueur, la fatigue, la douleur qui devient connaissance de soi.
Ce morceau traduit ce que j’ai appris là :
que la force n’est pas dans le cri, mais dans la constance du souffle.
Et qu’il y a des jours où se relever est déjà un acte héroïque.
Construction musicale – De l’ombre à la lumière
Composé sur FL Studio, ce titre a été pensé comme un crescendo narratif pur,
un arc émotionnel complet : tension → ascension → révélation → apaisement.
Je commence par un pulsar rythmique discret, presque organique, construit à partir de percussions traitées et de sub-bass feutrées.
Dessus, un pad lumineux monte lentement — un son de synthé hybride entre l’analogique et l’orchestral (Spitfire Albion + Serum).
Puis, le piano entre, jouant trois accords suspendus, comme une incantation.
Les cordes (violons longs, altos staccato, cellos legato) tissent une tension émotionnelle continue, pendant que les chœurs éthérés apportent une élévation spirituelle — pas religieuse, mais vitale.
Enfin, les cuivres (cor, trombone, trompette) viennent ouvrir le ciel, littéralement : le son s’élargit, le spectre s’illumine.
Le morceau atteint son sommet à 2:40, où tous les éléments fusionnent :
percussions cinématiques, cordes massives, synthés lumineux, chœurs suspendus.
Puis, tout retombe lentement, comme après une respiration tenue trop longtemps.
Intention émotionnelle et symbolique
Rise of the Light est une musique de transformation.
C’est le moment où tu comprends que ton passé ne te définit pas — il te façonne.
C’est une ode à la discipline, au courage tranquille, à la foi en la vie quand tout semble vaciller.
J’y ai mis mon amour du mouvement, ma fascination pour le corps humain comme instrument de dépassement, et cette croyance profonde :
la lumière n’est pas un don, elle se mérite.
Philosophiquement, ce titre incarne ma lecture du renouveau contextualiste :
la lumière n’est pas “contre” l’ombre, elle émerge d’elle.
Il n’y a pas de triomphe sans lutte intérieure, pas de dépassement sans acceptation du réel.
Palette sonore et textures
- Instruments principaux : orchestre complet (cordes, cuivres, percussions, piano, chœurs), synthés hybrides.
- Énergie : progressive, respirante, ascendante.
- Timbre : chaud, noble, inspirant.
- Techniques : automation des crescendos, layering orchestral par plans dynamiques, compression sidechain douce sur les percussions.
- Couleurs : or blanc, bleu clair, reflet d’aube.
- Durée : 3 min 30.
Résonance personnelle
Ce morceau me ressemble dans ce que j’ai de plus humain.
Il dit le combat, mais aussi la foi.
Il parle du moment où tu tombes, où tu te relèves, et où tu réalises que le monde n’a pas changé c’est toi.
C’est ma manière de dire merci à la vie, même dans la douleur.
C’est une prière d’homme, pas d’ange.
Note d’intention – Dossier professionnel (producteurs / directeurs musicaux / festivals)
Logline musicale
Thème orchestral moderne, hybride et ascendant. Pièce cinématique illustrant la transformation, la discipline et l’espoir.
Énergie progressive, lumière émotionnelle maîtrisée.
Usage visé
Bande-annonce, scène de triomphe, documentaire inspirant, film d’aventure / dépassement humain.
DAW & Workflow
FL Studio : structure en “arc dramatique” avec automation macro (intensité / reverb / drive), mix à plat + mastering multi-bandes.
Création thématique au piano → orchestration → hybridisation synthé/percu → mix spatial.
Banques / Sources
Spitfire Albion One & Epic Strings, EastWest Brass, Damage 2 (percussions), Serum pour les pads lumineux, BBC Symphony (chœurs légers).
Instrumentation clé
Cordes massives, cuivres nobles, percussions cinématiques, piano central, synthés atmosphériques.
Chœurs éthérés en textures.
Tonalité & Tempo
Mi mineur → Sol majeur · 90 BPM.
Structure d’élévation continue (−6 → +3 LU sur le crescendo principal).
Structure synchronisable
0:00–0:45 intro / 0:45–1:45 build / 1:45–2:45 climax / 2:45–3:30 release.
Points d’édit précis à 0:45 / 1:30 / 2:15 / 2:45.
Durées livrables
Full 3:30 · 2:00 · 1:00 · 0:30 (edit trailer-ready).
Mix / Master
LUFS −10 (cinéma / trailer), −12 (streaming).
Headroom −6 dBFS.
Stems : STR / BRASS / PERC / SYNTH / CHOIR / FX.
Master spatial avec reverb convolution + stereo enhancer mid/side.
Signature Welan Edvee
Force sereine, émotion maîtrisée, lumière en ascension.
Une écriture où la discipline rencontre la grâce.
Battlefield Pulse (Cœur de Combat) – la discipline et la maîtrise.
La tension, la maîtrise, la dignité du geste
Genèse – Le combat intérieur
Battlefield Pulse n’est pas un morceau de guerre.
Ce n’est pas la musique du chaos, ni celle de la destruction.
C’est une musique de maîtrise.
Elle vient de ma fascination pour les sports de combat,
pas dans leur violence, mais dans ce qu’ils enseignent :
la rigueur, le respect, la conscience du corps, la précision du geste.
Dans le ring ou dans la vie, il y a ce même instant suspendu avant le premier mouvement :
le silence, le souffle, la tension entre la peur et la lucidité.
Ce morceau, c’est ce battement-là.
Celui du cœur avant l’impact.
Celui du combattant intérieur.
Construction musicale – Rythme, souffle, tension
Je compose ici directement dans FL Studio, en sculptant d’abord le rythme avant la mélodie.
C’est un morceau bâti sur la pulsation : une base percussive hybride (Damage 2 + Battery + percussions africaines retraitées) et une ligne de basse cinématique distordue qui agit comme un muscle sonore.
La batterie cinématique — un mix de taikos, de coups de caisse compressés et de sub impacts - installe un flux d’énergie continue, presque cardiaque.
Chaque pattern rythmique est pensé comme un enchaînement de coups, mais contrôlé, précis, respiré.
Par-dessus, j’introduis des cordes tranchantes en staccato, jouées en 16ᵉ alternées avec des synthés distordus, créant cette dualité entre l’organique et le mécanique, l’humain et la machine.
Là encore, tout est une question d’équilibre :
le chaos est suggéré, jamais laissé libre.
Au milieu du morceau (1:15–1:45), un break respiratoire coupe le rythme :
le cœur ralentit, les sons s’étirent.
Puis, la reprise (1:45–2:15) revient plus dense, plus resserrée, avec des impacts synchronisés sur des syncopes rythmiques.
Le final (2:15–2:30) se termine sur une basse solo et un souffle - comme une exhalation après la victoire, ou simplement après l’effort.
Intention émotionnelle et symbolique
Battlefield Pulse, c’est la guerre intérieure.
Celle que chacun mène contre lui-même :
contre la peur, contre le doute, contre la tentation d’abandonner.
Ce morceau ne glorifie pas la force brute.
Il célèbre la discipline, la lucidité, la noblesse du combat maîtrisé.
Dans le sport, comme dans la vie, la victoire n’est pas d’écraser —
c’est de se connaître.
Ce morceau traduit ma façon de vivre l’énergie masculine : non pas dominatrice, mais canalisée.
C’est le bruit du cœur quand il bat pour exister, pas pour écraser.
Palette sonore et textures
- Instruments principaux : batterie cinématique, synthés distordus, cordes staccato, basses sub, impacts, percussions ethniques retraitées.
- Design sonore : superposition de transients nets + reverb inversée sur certains hits pour créer une “respiration” rythmique.
- Ambiance : tendue mais contenue. L’énergie circule sans débordement.
- Couleur : acier, feu, poussière, sueur.
- Durée : 2 min 15.
- Influence sonore : fusion entre le sound design moderne de trailers (Zimmer / Djawadi) et les pulsations organiques africaines.
Résonance personnelle
Ce morceau, c’est mon ancrage.
Quand je compose Battlefield Pulse, j’ai toujours en tête cette idée :
“l’énergie n’est rien sans direction.”
J’y mets la part de moi qui a appris la rigueur du corps, la patience de l’esprit, la force du silence avant le mouvement.
C’est un morceau qui respire la tension, mais jamais la rage.
Parce qu’au fond, ce que je célèbre ici, ce n’est pas la victoire —
c’est la maîtrise de soi.
Note d’intention – Dossier professionnel (producteurs / directeurs musicaux / festivals)
Logline musicale
Track électro-orchestral hybride, rythmique et cinématique.
Fusion entre percussions modernes et tension orchestrale contrôlée.
Un battement de cœur en musique.
Usage visé
Trailer de jeu vidéo, scène d’action, e-sport, film d’arts martiaux, publicité énergétique.
DAW & Workflow
FL Studio : conception rythmique en step-sequencer, automation sur cut-off et drive, mix sidechain dynamique entre basse et impacts.
Structure pensée pour montage syncopé (cut points toutes les 15 s).
Banques / Sources
Damage 2, EastWest Ra (percussions ethniques), Serum (bass synth), Spitfire Cinematic Percs, BBC Strings (staccatos).
Sound design customisé à partir de field recordings (respiration, frottements, sacs de frappe).
Instrumentation clé
Batterie cinématique, sub-bass distordue, cordes tranchantes, percussions hybrides, synths sombres.
Tonalité & Tempo
Fa mineur · 110 BPM.
Structure en tension constante, sans réelle résolution (pulse narratif continu).
Structure synchronisable
Intro 0:00–0:30 (set-up) → 0:30–1:15 (build) → 1:15–1:45 (break) → 1:45–2:15 (final push).
Edit points : 0:30 / 1:00 / 1:15 / 1:45 / 2:00.
Durées livrables
Full 2:15 · 1:00 · 0:30 · 0:15 (sting).
Mix / Master
LUFS −9 (trailer) / −12 (streaming).
Peak −1 dBTP, headroom −6 dB.
Stems : DRUM / BASS / STR / FX / SYNTH / AMB.
Master : stereo wide + dynamic glue compression.
Signature Welan Edvee
Puissance maîtrisée, tension noble, hybridité entre instinct et structure.
Une pulsation vivante, ancrée, humaine.
Lost Ruins (Les Ruines du Silence) – le lien aux ancêtres et au mystère.
La mémoire enfouie, le souffle des anciens
Genèse – Le silence des ancêtres
Ce morceau, je l’ai rêvé avant de le composer.
Une terre craquelée, un vent chaud, des pierres couvertes de poussière.
Au loin, un écho — pas une voix, un murmure.
Lost Ruins est né de cette sensation d’être appelé par quelque chose de plus ancien que soi.
Enfant, j’ai grandi loin de mes racines. Mais en retournant au Burkina, j’ai ressenti physiquement ce lien invisible :
le poids du sol, l’odeur de la terre rouge, la présence des absents.
Ce morceau, c’est une archéologie du cœur : la fouille d’une mémoire qu’on n’a pas vécue, mais qui nous habite.
Il est dédié à tous ceux dont je porte le nom, les gestes, la mémoire — sans les avoir connus.
Construction musicale – Entre mystique et exploration
J’ai construit Lost Ruins comme une traversée sonore.
Il commence presque sans musique : juste une texture de vent filtré (field recording du souffle sur un micro, traité en delay granulaire).
Puis entre une kora, douce et hésitante, jouant des motifs irréguliers en 6/8.
Chaque phrase se répète partiellement, comme une incantation incomplète.
En parallèle, une flûte basse (type bansuri / shakuhachi selon le mix) dialogue avec la kora.
Elles se répondent, comme deux cultures qui se reconnaissent sans se connaître :
l’Afrique de l’Ouest et la Celtie, deux mondes éloignés reliés par le souffle.
Les percussions ethniques arrivent progressivement :
djembés étouffés, tambours frappés du bout des doigts, shakers de sable.
Elles ne miment pas le folklore, elles évoquent la respiration du sol.
Enfin, des drones orchestraux viennent soutenir la profondeur : nappes de cordes graves, textures harmoniques en mi dorien, donnant à l’ensemble une dimension sacrée et cinématique.
Le morceau se termine dans un quasi-silence : un souffle, un froissement, un souvenir.
Intention émotionnelle et symbolique
Lost Ruins, c’est le son de la mémoire avant le langage.
C’est un morceau sur le lien ancestral, la reconnaissance invisible entre ce qu’on est et ce qui nous précède.
Il parle du temps long, de ce qui survit sans bruit.
Là où Battlefield Pulse était une lutte consciente, Lost Ruins est une acceptation silencieuse.
C’est le moment où tu cesses de chercher à comprendre pour simplement écouter.
Musicalement, il est plus contemplatif, mais émotionnellement, c’est sans doute le plus enraciné de l’album.
Philosophiquement, il s’inscrit dans ta lecture du transgénérationnel :
le sol comme mémoire, la musique comme outil de transmission invisible.
Une forme d’ethnopsychiatrie sonore : la rencontre entre les esprits, les gestes, les territoires.
Palette sonore et textures
- Instruments principaux : kora, flûte, percussions ethniques, drones de cordes graves, textures de vent.
- Ambiance : contemplative, mystique, texturée.
- Techniques : sound design avec convolution naturelle (reverb longue issue d’un temple vide), EQ douce, sidechain lent sur les drones pour donner un effet de respiration.
- Couleur : ocre, turquoise, terre rouge.
- Durée : 3 min.
- Style : fusion afro-celtique ambient.
Résonance personnelle
Ce morceau, c’est une rencontre entre mes deux mondes.
L’Afrique, celle de la poussière et de la mémoire,
et l’Occident, celui du vent et de la brume.
C’est la musique d’un homme qui ne choisit plus entre deux identités, mais qui les laisse dialoguer.
Quand j’écoute Lost Ruins, j’ai l’impression d’entendre mon nom — pas celui qu’on m’a donné, mais celui qu’on a murmuré avant ma naissance.
C’est un morceau d’humilité et de gratitude.
Note d’intention – Dossier professionnel (producteurs / directeurs musicaux / festivals)
Logline musicale
Pièce ambient mystique pour jeu vidéo, documentaire ou installation immersive.
Fusion afro-celtique entre kora, flûte, percussions ethniques et nappes orchestrales profondes.
Une exploration sonore de la mémoire et du sacré.
Usage visé
Jeux d’exploration, documentaire archéologique, film contemplatif, projet VR, exposition immersive.
DAW & Workflow
FL Studio : enregistrement MIDI live de la kora (plugin Ethno World 6 modifié), superposition de textures audio (field recordings), automation lente sur dynamique et panoramique.
Mixage en “scène sonore 3D” pour écoute binaurale.
Banques / Sources
Ethno World 6, EastWest Ra, BBC Symphony (strings low), Spitfire Ambient Textures, enregistrements originaux (sable, vent, feuilles, métal).
Instrumentation clé
Kora solo, flûte ethnique, percussions bois/sable, drones orchestraux, textures de vent filtré.
Tonalité & Tempo
Mi dorien (mi mineur avec sixte majeure) · 68 BPM.
Ambiance cyclique, sans climax marqué.
Structure synchronisable
Intro 0:00–0:45 (ambience) → 0:45–1:45 (dialogue kora/flûte) → 1:45–2:30 (montée rythmique) → 2:30–3:00 (dissolution).
Édits : 0:30 / 1:00 / 1:30 / 2:00 / 2:30.
Durées livrables
Full 3:00 · 2:00 · 1:00 · 0:30 (underscore / loop seamless).
Mix / Master
LUFS −15 (ambient), −13 (docu).
Peak −1 dBTP, headroom −5 dB.
Stems : MELODIC / PERC / DRONE / AMB / FX.
Export binaural + stereo wide.
Sons du monde, profondeur spirituelle, hybridité organique.
Un pont sonore entre les ruines et la lumière.
- Shine – Brand Theme (Rayonner) – la joie et la simplicité retrouvée.
La clarté retrouvée, l’élan vital
Genèse – La lumière après la poussière
Shine marque un tournant.
C’est le moment où la poussière du passé retombe, où l’on retrouve son souffle, son axe, sa joie.
Ce morceau est né d’un besoin simple : respirer à nouveau.
Après la tension du combat et le silence des ruines, il fallait la lumière.
Mais pas une lumière naïve — une lumière choisie, lucide, gagnée.
Shine, c’est cette joie tranquille de ceux qui ont traversé l’ombre et qui savent que la lumière, maintenant, n’est plus un décor — c’est un choix de vivre.
Il s’inspire des musiques de campagnes publicitaires modernes (Apple, Yves Saint Laurent, Nike 2025…), mais avec une écriture cinématique et émotionnelle, pensée comme une identité sonore de renaissance.
Construction musicale – Modernité, émotion, espace
J’ai voulu composer Shine comme un thème de marque universel, une musique qui parle autant au corps qu’à l’âme.
Le morceau s’ouvre sur une guitare électrique claire, jouée en arpèges avec reverb longue et delay doux (influence Explosions in the Sky / Göransson).
Puis entre une progression de piano lumineux, en accords suspendus, sur un tempo médian (100 BPM).
La rythmique repose sur des percussions électroniques organiques, mêlant kicks doux, claps feutrés et hi-hats modulés, le tout intégré dans une compression douce “glue style”.
Les synthés (Juno, Prophet virtuels) forment des nappes diaphanes, évoluant en stéréo large.
Des cordes aériennes (violons longs, legato doux) apportent une dimension cinématique subtile, tandis qu’une basse chaude (SubLab + Moog simulation) stabilise l’ensemble.
Un crescendo s’installe à 1:30, non pas pour impressionner, mais pour ouvrir l’espace : une montée vers la clarté, une respiration orchestrale qui culmine avant de retomber en sourire.
La fin (2:45–3:10) revient au piano et à la guitare - une lumière simple, sans artifices.
Intention émotionnelle et symbolique
Shine, c’est la lumière consciente.
Pas celle qui efface l’ombre, mais celle qui en assume la trace.
C’est la bande-son d’un matin neuf, mais pas d’un nouveau monde — du même monde, enfin vu autrement.
Il incarne ma philosophie du contextualisme lumineux :
comprendre le réel, mais choisir de le traverser avec dignité, humour, gratitude.
C’est le morceau qui dit :
“J’ai mal, j’ai appris, mais je rayonne quand même.”
C’est aussi le morceau qui relie mes deux univers :
la musique de film et la musique de marque.
C’est un pont entre l’art et la communication émotionnelle — entre le personnel et l’universel.
Palette sonore et textures
- Instruments principaux : piano, guitare électrique claire, synthés analogiques, cordes légères, basse chaude, percussions électro-organiques.
- Ambiance : claire, moderne, sincère.
- Techniques : layering de textures lumineuses, sidechain doux, filtres dynamiques progressifs.
- Couleurs : blanc nacré, doré, bleu azur.
- Durée : 3 min 10.
- Style : cinematic pop / modern scoring / ambient branding.
Résonance personnelle
Ce morceau, c’est un sourire.
Il me ressemble quand je vais bien, quand j’arrête de tout analyser et que je laisse la vie me traverser.
Il parle de mon lien à mes enfants, à ma femme, à cette énergie qu’on retrouve quand on arrête de se battre pour simplement être.
Shine, c’est ma manière de dire que la douceur aussi est une force.
Qu’il y a de la noblesse dans la paix retrouvée.
Note d’intention – Dossier professionnel (producteurs / directeurs musicaux / festivals)
Logline musicale
Thème lumineux, moderne et émotionnel, fusionnant instrumentation cinématique et textures électroniques subtiles.
Identité sonore évoquant la résilience, la gratitude et la clarté retrouvée.
Usage visé
Campagne de marque (luxe, innovation, bien-être), film institutionnel, générique TV, trailer positif, film d’auteur lumineux.
DAW & Workflow
FL Studio : piano / guitare enregistrés en MIDI réel, layering synthés (Juno + Prophet + Serum), automation sur filtres et reverb.
Mix stéréo large avec reverb convolution + delay ping-pong dynamique.
Banques / Sources
Keyscape (piano), Ample Guitar, Spitfire Ambient Strings, Serum (pads), Moog One (basse), KSHMR Drums.
Instrumentation clé
Piano clair, guitare delay, nappes synthétiques, cordes éthérées, percussions électro-organiques, basse chaude.
Tonalité & Tempo
Ré majeur · 100 BPM.
Progression émotionnelle ascendante, retour au calme final.
Structure synchronisable
Intro 0:00–0:30 (setup) → 0:30–1:30 (build) → 1:30–2:45 (crescendo) → 2:45–3:10 (release).
Édits : 0:30 / 1:00 / 1:45 / 2:30 / 2:45.
Durées livrables
Full 3:10 · 2:00 · 1:00 · 0:30 (commercial-ready).
Mix / Master
LUFS −12 (streaming / pub), −10 (cinématique).
Peak −1 dBTP.
Stems : PIANO / GUIT / SYNTH / STR / DRUM / BASS / FX.
Master spatial clean, dynamique, sans saturation excessive.
Signature Welan Edvee
Lumière maîtrisée, émotion sincère, équilibre entre intimité et modernité.
Une musique qui ne cherche pas à briller, mais à éclairer.
Whispers of the Earth (Les Murmures de la Terre) – l’écoute du monde vivant.
L’écoute du monde vivant, le souffle de la nature consciente
Genèse – L’écoute avant le son
Ce morceau est né d’un silence.
Celui qu’on entend quand on coupe tout — les machines, les pensées, les bruits artificiels — et qu’on se rend compte que la Terre parle encore.
Pas avec des mots, mais avec des souffles, des craquements, des oscillations subtiles.
Whispers of the Earth vient de ces instants où je compose fenêtres ouvertes, où le vent fait bouger les feuilles, où le bois de mon bureau craque.
Dans ces micro-sons, j’entends des pulsations — la vie en vibration.
C’est un morceau de gratitude.
Une manière d’honorer la Terre non pas comme une métaphore poétique, mais comme un organisme vivant qui respire, se fatigue, se régénère.
Construction musicale – Terre, souffle, écoute
Ici, la composition part d’un field recording :
le vent dans les herbes hautes, le craquement du sol, un oiseau lointain.
Je les ai enregistrés, filtrés, puis intégrés comme rythme naturel — le monde est le premier instrument.
Ensuite, j’ai ajouté des percussions douces, presque végétales :
bois frappé, graines, pierres frottées.
Leur groove est irrégulier, organique, calqué sur un tempo naturel (82 BPM), avec des micro-variations rythmiques pour simuler le vivant.
La kora revient, mais jouée plus lentement, presque méditative, accompagnée d’un piano feutré (Keyscape Felt).
Les cordes graves (violoncelle, contrebasse en legato) représentent la terre : elles tiennent les fondations.
Au-dessus, une flûte grave et une guitare acoustique légère tissent des motifs d’air et de lumière.
Le tout est enveloppé dans une ambiance spatiale subtile, créée à partir d’un reverb à impulsion d’espace naturel (grotte, plaine, temple vide).
Le morceau ne cherche jamais à “monter” : il respire.
Intention émotionnelle et symbolique
Whispers of the Earth parle d’écoute, pas de spectacle.
Il dit : “le monde n’a pas besoin d’être sauvé, il a besoin d’être entendu.”
C’est une musique de connexion silencieuse, un rappel que nous faisons partie d’un tout.
Elle incarne ma manière de parler d’écologie : non pas par la peur, mais par la présence.
Quand je compose ce morceau, je ne veux pas “imposer” une émotion — je veux qu’on la découvre en soi, au fil du souffle.
Ce titre est aussi une réponse symbolique à la modernité : dans un monde saturé de sons et de messages, il rappelle la valeur du peu, du lent, du vrai.
Palette sonore et textures
- Instruments principaux : kora, piano feutré, guitare acoustique, flûte grave, cordes graves, percussions naturelles.
- Ambiance : organique, terrestre, contemplative.
- Techniques : field recordings (vent, craquements, oiseaux), filtres dynamiques doux, micro-variations de tempo, EQ naturelle.
- Couleurs : vert mousse, brun terre, bleu brumeux.
- Durée : 4 min.
- Style : ambient acoustique / world minimaliste / éco-cinématique.
Résonance personnelle
Ce morceau, c’est mon lien à l’essentiel.
J’y ai mis mon besoin de ralentir, de réapprendre à écouter, à ressentir.
C’est un morceau qui me rappelle mon père adoptif — ses silences, ses marches, sa façon de peindre les arbres en écoutant le vent.
J’y entends aussi les forêts du Burkina, les plaines d’Irlande, les champs de France.
Trois respirations qui n’en font qu’une.
Whispers of the Earth, c’est ma prière sans mots.
Note d’intention – Dossier professionnel (producteurs / directeurs musicaux / festivals)
Logline musicale
Pièce ambient organique et méditative, entre musique du monde et sound design naturel.
Dialogue entre instruments acoustiques et textures de terrain (field recordings).
Une immersion sensorielle dans le souffle de la Terre.
Usage visé
Documentaire environnemental, film contemplatif, installation immersive, méditation guidée, VR nature, exposition sonore.
DAW & Workflow
FL Studio : intégration de field recordings, modulations LFO subtiles sur filtre passe-bas, automation lente du volume pour simuler la respiration naturelle.
Mix binaural “écoute intérieure” calibré sur casques fermés.
Banques / Sources
Ethno World (kora, flûte), Keyscape (piano felt), Ample Guitar, Spitfire Strings (celli, basses), field recordings originaux (vent, sol, pas, oiseaux).
Instrumentation clé
Kora lente, piano feutré, cordes graves, flûte, percussions bois/pierre, ambiances naturelles.
Tonalité & Tempo
La mineur dorien · 82 BPM.
Forme libre, structure organique sans drops ni climax.
Structure synchronisable
Intro 0:00–0:40 (ambiances) → 0:40–2:00 (développement mélodique) → 2:00–3:20 (textures et résonances) → 3:20–4:00 (retour au silence).
Édits : 0:30 / 1:00 / 2:00 / 3:00 / 3:30.
Durées livrables
Full 4:00 · 2:30 · 1:00 (loop naturelle).
Mix / Master
LUFS −14 (ambient), Peak −1 dBTP, headroom −6 dB.
Stems : MELODIC / DRONE / PERC / NAT / FX / AMB.
Master spatial 3D (binaural + stereo wide).
Signature Welan Edvee
Respect du silence, communion sensorielle, minimalisme vibrant.
Une écoute du monde, pas une conquête du son.
Human Threads (Les Fils de l’Humain) – la transmission, la douceur.
La transmission, la douceur, l’humanité partagée
Genèse – Les fils invisibles
Ce morceau est né d’un après-midi banal, un dimanche.
Ma fille jouait au sol, mon fils dessinait, et je les regardais sans rien dire.
J’ai réalisé à quel point nous étions faits de fils invisibles : gestes hérités, intonations, regards.
Ces fils, c’est l’humanité dans sa forme la plus simple : la transmission, la mémoire douce, l’amour qui ne dit pas son nom.
Human Threads parle de ça : de ce qui nous relie sans bruit.
Il n’y a pas de drame, pas d’exploit, pas de tension.
Juste des instants.
J’ai voulu écrire une musique qui respire comme un souvenir heureux.
Construction musicale – Intime, lumineux, incarné
L’écriture part d’un piano minimaliste, joué en rubato, avec des silences assumés.
Chaque note a un poids émotionnel, chaque silence a une valeur.
La main gauche joue peu — elle soutient plus qu’elle n’accompagne.
Une guitare acoustique entre ensuite, délicate, comme une voix fraternelle.
Elle tisse le fil mélodique — d’où le titre.
Sa texture est volontairement imparfaite : bruits de doigts, souffle des cordes, captation naturelle.
Des petites percussions fines (balais, bois, cailloux, peau) rythment la respiration humaine.
Elles ne marquent pas le temps — elles l’effleurent.
À partir de 1:40, des cordes douces (violon solo + alto + violoncelle) viennent apporter une lumière subtile, presque imperceptible.
Leur rôle n’est pas dramatique mais émotionnellement enveloppant.
Le morceau se clôt sur une pédale suspendue de piano, avec un long souffle — comme un fil qu’on laisse flotter dans l’air.
Intention émotionnelle et symbolique
Human Threads parle de la beauté du fragile.
C’est un hommage aux gestes ordinaires — ces instants qui ne font pas d’histoire, mais qui tissent la nôtre.
Il y a, dans ce morceau, quelque chose de thérapeutique :
une façon d’apaiser, de réconcilier, de redonner à la douceur sa valeur politique.
Dans un monde bruyant, c’est une musique du lien silencieux.
Elle incarne ce que je crois profondément : la tendresse est une forme de courage.
Philosophiquement, c’est ton morceau “James Newton Howard” :
clarté émotionnelle, lyrisme mesuré, humanisme orchestral.
Une lumière simple, mais essentielle.
Palette sonore et textures
- Instruments principaux : piano, guitare acoustique, cordes légères, petites percussions, textures d’air.
- Ambiance : intime, apaisée, organique.
- Techniques : enregistrement en rubato, reverb naturelle, EQ douce sur les médiums, compression lente pour respirer avec le jeu.
- Couleurs : lin clair, or pâle, bois naturel.
- Durée : 3 min 20.
- Style : néo-classique / human documentary / emotional storytelling.
Résonance personnelle
Ce morceau, c’est ma manière de dire merci.
Merci à ceux qui m’ont transmis — parfois sans le savoir — des morceaux de tendresse, des façons d’aimer, de parler, de pardonner.
Je l’ai composé comme on coud un vêtement :
point après point, sans chercher la perfection, mais avec soin.
Human Threads est une musique de réparation, de fil repris sur une déchirure ancienne.
Et dans ce geste, il y a une forme de foi : celle de croire encore à l’humain.
Note d’intention – Dossier professionnel (producteurs / directeurs musicaux / festivals)
Logline musicale
Pièce néo-classique intimiste pour piano, guitare et cordes légères.
Évocation sensible de la transmission humaine, de la mémoire émotionnelle et du lien familial.
Usage visé
Documentaire social, film d’auteur, publicité émotionnelle, série humaniste, podcast narratif, projet thérapeutique sonore.
DAW & Workflow
FL Studio : piano (Keyscape Felt) enregistré live en rubato, guitare (Ample Guitar M) mixée en stéréo rapprochée, percussions naturelles enregistrées sur table bois + tissu.
Automation subtile sur dynamique et respiration.
Banques / Sources
Spitfire Intimate Strings, Keyscape Felt Piano, Ample Guitar, Hammers + Brushes (Organic Percs).
Instrumentation clé
Piano, guitare acoustique, cordes légères, petites percussions, textures d’air.
Tonalité & Tempo
Ré majeur · 78 BPM rubato libre.
Forme cyclique sans climax — respiration humaine naturelle.
Structure synchronisable
Intro 0:00–0:40 (piano solo) → 0:40–1:40 (dialogue piano/guitare) → 1:40–2:50 (cordes / émotion montante) → 2:50–3:20 (retour apaisé).
Édits : 0:30 / 1:00 / 2:00 / 3:00.
Durées livrables
Full 3:20 · 2:00 · 1:00 (underscore / soft edit).
Mix / Master
LUFS −13 (émotionnel), Peak −1 dBTP, headroom −5 dB.
Stems : PIANO / GUIT / STR / PERC / AIR.
Master large, naturel, sans compression agressive.
Émotion retenue, sincérité lumineuse, humanisme musical.
Une musique qui ne cherche pas à convaincre, mais à relier.
Shadows & Mirrors (Ombres et Reflets) – la tension intérieure, la vérité cachée.
La tension intérieure, la vérité cachée
Genèse – Ce qui se cache derrière le calme
Ce morceau est né d’un vertige.
Ce moment précis où l’on se regarde dans le miroir et qu’on ne sait plus très bien qui nous regarde en retour.
Dans ma vie d’homme, de père, d’éducateur, il y a souvent eu cette tension : celle entre le rôle et l’être.
Entre ce que je montre et ce que je ressens vraiment.
Shadows & Mirrors explore ce tiraillement intime.
Pas celui du mensonge, mais celui de la cohabitation entre nos zones de clarté et nos zones d’ombre.
Il y a dans ce morceau un écho à mon travail avec les familles, mais aussi à ma propre introspection :
cette nécessité d’accepter nos contradictions, nos paradoxes, nos blessures encore actives.
Composer cette pièce, c’était comme enregistrer une conversation avec mes fantômes — et en sortir plus lucide.
Construction musicale – Pulsation, tension, reflet
La pièce repose sur une pulsation lente et hypnotique, 72 BPM, volontairement instable.
C’est une rythmique intérieure, presque cardiaque, construite sur un beat électronique discret et des textures analogiques qui montent en intensité sans jamais éclater.
- Intro (0:00 – 0:45)
- Ambiance noire et feutrée : bruit de souffle filtré, résonance métallique lointaine.
- Une basse feutrée (Moog Sub) commence à pulser, comme un cœur hésitant.
- Les cordes pizzicato introduisent la tension psychique — précision chirurgicale, froideur émotionnelle.
- Développement (0:45 – 2:00)
- Entrée des synthés analogiques (Prophet 5, Arturia Mini), nappes légèrement dissonantes.
- Des violons discrets viennent s’y frotter, créant des frictions harmoniques subtiles (intervalle de seconde mineure).
- À 1:30, des pulses électroniques se croisent — illusion d’un rythme irrégulier qui désoriente.
- Climax (2:00 – 2:40)
- Les éléments se superposent : le piano martèle des notes isolées (mode phrygien), les basses vibrent, le spectre se densifie.
- Tension sans explosion — tout reste contenu.
- À 2:40, un brusque effet miroir : la réverb se retourne, les sons s’inversent, comme si la musique se regardait elle-même.
- Coda (2:40 – 3:10)
- Retour au silence.
- Un dernier écho de piano suspendu.
- Une respiration.
Intention émotionnelle et symbolique
Shadows & Mirrors est une pièce sur la lucidité.
Elle parle de ce moment où l’on choisit de ne plus fuir ses zones sombres, mais de les observer avec calme.
L’ombre n’est pas le mal : elle est la part que la lumière n’a pas encore touchée.
Ce morceau est un dialogue intérieur entre raison et émotion, contrôle et lâcher-prise, vérité et reflets.
Il incarne aussi la dimension psychologique de ton parcours — celle du thérapeute en devenir, du chercheur de sens.
Esthétiquement, c’est ton morceau le plus filmique, à la croisée de Jóhann Jóhannsson, Cliff Martinez et Trent Reznor.
Une tension maîtrisée, un minimalisme qui dit beaucoup sans mots.
Palette sonore et textures
- Instruments principaux : synthés analogiques, basse Moog, piano préparé, cordes pizzicato, pads inversés.
- Ambiance : introspective, glacée, contenue.
- Techniques : modulation lente de fréquence (LFO), reverb inversée, delays ping-pong désynchronisés, dissonance contrôlée.
- Couleurs : gris acier, bleu nuit, argent.
- Durée : 3 min 10.
- Style : thriller psychologique / ambient expérimental / néo-noir cinématique.
Résonance personnelle
Shadows & Mirrors, c’est le morceau de la lucidité douloureuse.
Il y a des phases dans la vie où l’on se regarde avec honnêteté, et où ce que l’on voit n’est pas toujours beau — mais c’est vrai.
Ce morceau, c’est moi face à mes contradictions, à mes failles, à mes “zones d’inertie” comme dirait ma psy.
C’est aussi la traduction musicale de ce que j’observe chaque jour dans mon travail :
la complexité humaine, les reflets de souffrance, les masques qu’on porte pour tenir.
Ce n’est pas une musique triste. C’est une musique lucide, presque thérapeutique.
Elle nous dit : “Regarde-toi, mais sans te juger.”
Note d’intention – Dossier professionnel (producteurs / directeurs musicaux / festivals)
Logline musicale
Pièce cinématique minimaliste, entre sound design et émotion contenue.
Tension psychologique intérieure, parfaite pour thriller, polar ou drame intime.
Usage visé
Série policière, film d’auteur, thriller psychologique, publicité conceptuelle, documentaire sur la psyché humaine.
DAW & Workflow
FL Studio : design sonore modulaire (Arturia Mini V, Prophet 5), basse analogique Moog Subharmonicon, piano traité (EQ narrow + delay inversé).
Automation subtile du cutoff et panoramique aléatoire.
Master binaural pour immersion.
Banques / Sources
Spitfire Olafur Evo Grid, Arturia Collection, Soundiron Ambiences, Keyscape Piano Felt modifié.
Instrumentation clé
Basse analogique, synthés dissonants, piano préparé, cordes pizzicato, textures inversées.
Tonalité & Tempo
Mi mineur · 72 BPM.
Pulsation irrégulière (signature 7/8 ponctuelle).
Structure synchronisable
Intro 0:00–0:45 (set-up psychologique) → 0:45–2:00 (tension) → 2:00–2:40 (densification) → 2:40–3:10 (release inversé).
Édits : 0:30 / 1:00 / 1:45 / 2:30 / 3:00.
Durées livrables
Full 3:10 · 2:00 · 1:00 (loop tension).
Mix / Master
LUFS −12, Peak −1 dBTP, headroom −5 dB.
Stems : SYNTH / BASS / PIANO / STR / FX / PERC.
Mix stéréo élargi, spatialisation progressive.
Signature Welan Edvee
Tension maîtrisée, introspection sonore, justesse émotionnelle.
Une musique miroir : elle ne juge pas, elle révèle.
Breath of Stage (Le Souffle de la Scène) – la fragilité, la sincérité.
La fragilité, la sincérité
Genèse – Quand le silence devient scène
Ce morceau est né dans un moment de silence total.
Pas un silence vide, mais un silence habité.
C’était un soir, dans un petit théâtre. La lumière de scène s’était éteinte, et je voyais encore la poussière flotter dans l’air.
Ce moment suspendu, juste avant que quelqu’un parle ou joue, m’a bouleversé.
Breath of Stage est né là : dans la respiration avant la parole, dans ce battement où le corps tremble entre peur et vérité.
C’est une musique sur l’incarnation, sur le courage d’être soi sans costume, sans rôle, sans perfection.
Parce qu’au fond, sur scène ou dans la vie, il n’y a pas de différence :
ce que l’on donne de plus beau, c’est ce que l’on donne sans se protéger.
Construction musicale – Le souffle et la chair
La composition repose sur une économie totale de moyens :
seulement piano, violon solo et respiration humaine.
Chaque note, chaque silence, chaque souffle a été pensé comme une part de vérité.
- Introduction (0:00 – 0:45)
- Un piano seul, feutré, presque hésitant.
- L’espace sonore est large, on entend la résonance du marteau, la mécanique de l’instrument.
- Le tempo n’est pas métronomique : il suit la respiration.
- Développement (0:45 – 1:50)
- Le violon solo entre doucement, sans vibrato au début.
- Il ne cherche pas à séduire, il raconte.
- Le piano et le violon dialoguent, se répondent comme deux voix humaines — celle qui parle, celle qui écoute.
- Climax (1:50 – 2:40)
- Les deux instruments montent en intensité, non pas dans le volume, mais dans l’émotion.
- Le jeu devient plus franc, presque douloureux.
- Quelques respirations humaines (captées volontairement) s’entendent : traces du vivant.
- Coda (2:40 – 3:10)
- Le violon s’éteint, laissant le piano seul, sur un dernier souffle suspendu.
- La dernière note ne se termine pas : elle se dissout dans l’air.
Intention émotionnelle et symbolique
Breath of Stage est une métaphore du courage d’être.
Il ne cherche pas à impressionner, ni à émouvoir.
Il existe. Simplement. Comme un être humain qui monte sur scène et dit :
“Je ne sais pas si je suis prêt, mais je suis là.”
C’est un morceau sur la sincérité, sur la fragilité comme force.
Là où Shadows & Mirrors explore la tension intérieure, celui-ci célèbre le relâchement, le retour à soi.
La scène devient ici le symbole de la vie : on y apprend à respirer avec ses peurs, à accepter le regard de l’autre, à exister dans sa vérité nue.
Esthétiquement, c’est ton moment “John Williams” :
structure mélodique claire, écriture lyrique maîtrisée, expressivité humaine totale.
Une pièce de respiration, après les pulsations psychologiques de la précédente.
Palette sonore et textures
- Instruments principaux : piano, violon solo, voix humaine (souffle naturel).
- Ambiance : intime, acoustique, réverbérée comme dans une salle de théâtre vide.
- Techniques : enregistrement avec micro d’ambiance large, souffle capté et conservé, reverb convolution (impulsion “Abbey Hall”).
- Couleurs : ivoire, cuivre doux, ombre chaude.
- Durée : 3 min 10.
- Style : néo-classique / musique de théâtre / émotion incarnée.
Résonance personnelle
Breath of Stage, c’est moi sans décor.
C’est le moment où j’accepte que la musique n’a pas besoin d’être grandiose pour être vraie.
C’est un hommage à toutes les personnes qui se lèvent chaque matin malgré la peur, qui osent être elles-mêmes, qui respirent avant de parler.
Ce morceau me relie à mon père adoptif, à sa pudeur, à sa manière de parler peu mais juste.
Et il me relie aussi à ma femme, à sa lumière, à sa façon de m’avoir appris que la sincérité, ce n’est pas dire tout - c’est dire vrai.
Note d’intention – Dossier professionnel (producteurs / directeurs musicaux / festivals)
Logline musicale
Pièce néo-classique pour piano et violon solo, centrée sur la respiration, la présence et la sincérité émotionnelle.
Une œuvre intimiste, adaptée à la narration visuelle et à la mise en scène de l’humain.
Usage visé
Film d’auteur, théâtre contemporain, documentaire introspectif, court-métrage émotionnel, installation immersive.
DAW & Workflow
FL Studio : piano (Keyscape Felt) enregistré live en rubato, violon solo (Spitfire Solo Strings), prise micro d’ambiance humaine mixée avec EQ douce.
Automations dynamiques respiratoires (bpm flottant + reverb impulsive naturelle).
Banques / Sources
Keyscape Felt Piano, Spitfire Solo Strings, EastWest Voices (breath samples), convolution IR d’une salle de théâtre.
Instrumentation clé
Piano, violon solo, respiration, silence.
Tonalité & Tempo
Fa majeur · 68 BPM (tempo libre).
Forme ouverte : montée / relâchement / retour au calme.
Structure synchronisable
Intro 0:00–0:45 (piano seul) → 0:45–1:50 (dialogue violon/piano) → 1:50–2:40 (climax émotionnel) → 2:40–3:10 (extinction).
Édits : 0:30 / 1:00 / 2:00 / 3:00.
Durées livrables
Full 3:10 · 2:00 · 1:00 (underscore intimiste).
Mix / Master
LUFS −15 (intime), Peak −1 dBTP, headroom −5 dB.
Stems : PIANO / VIOLIN / BREATH / ROOM.
Master spatial naturel, dynamique organique.
Signature Welan Edvee
Humanité nue, sincérité contenue, souffle émotionnel.
Une musique qui ne joue pas un rôle : elle respire.
Pont des Âmes (The Souls’ Bridge) – la fusion, la spiritualité, le pont entre les mondes.
L’union des mondes, la mémoire des vivants et des absents
Genèse – Le souvenir des mondes reliés
Ce morceau, c’est toute mon histoire.
Il est né d’un moment très précis : celui où j’ai compris que ma vie n’était pas faite de ruptures, mais de ponts.
Pont entre le Burkina Faso et la France,
entre l’enfant que j’étais et l’homme que je suis,
entre mes deux familles — biologique et adoptive,
entre la terre rouge de Zékounga et les collines vertes d’Irlande.
Pont des Âmes est une musique qui remercie.
Elle remercie ceux qui m’ont donné la vie,
ceux qui m’ont donné un nom,
ceux qui m’ont transmis la musique,
et ceux qui, sans le savoir, m’ont appris l’amour et la foi.
C’est une œuvre née du deuil, mais nourrie par la gratitude.
Dans chaque note, il y a un peu de ma mère, un peu de mon père, un peu de la femme qui m’a ramené “chez moi” en 2011,
et un peu de cet enfant de 3 ans qui regardait le ciel du Burkina sans savoir encore qu’il en franchirait les nuages.
Construction musicale – Fusion, souffle, élévation
La composition suit une structure archétypale du voyage spirituel :
du sol à la lumière, de la terre à l’âme.
- Introduction (0:00 – 1:00)
- La kora ouvre seule, pure, fragile — symbole du lien africain et ancestral.
- Une harpe celtique la rejoint, comme un écho venu d’un autre monde.
- Ensemble, elles tissent la mélodie principale : un motif circulaire, sans début ni fin, comme une prière.
- En fond, un léger bourdon orchestral (violoncelles et drones) donne la sensation d’espace sacré.
- Développement (1:00 – 2:30)
- Les tambours africains (djembé, dunun, calebasse) entrent, posant une pulsation vivante, presque tribale.
- Les cordes montent progressivement, envoient des harmoniques comme des respirations.
- La cornemuse apparaît à 1:50, jouant une variation du thème principal — pont sonore entre les continents.
- À cet instant, le morceau bascule dans une transe douce : le rythme s’accélère légèrement, mais sans violence.
- Climax (2:30 – 3:40)
- Tout l’orchestre fusionne : cordes, cuivres, kora, harpe, percussions.
- Le thème devient orchestral et épique, soutenu par un ostinato de cordes et de tambours.
- Le souffle collectif évoque la communion entre les âmes, comme si les ancêtres et les vivants jouaient ensemble.
- À 3:20, un grand break suspend le temps — tout se fige avant la dernière montée.
- Coda (3:40 – 4:30)
- La musique s’éteint lentement, ne laissant que la kora et la harpe, revenues seules.
- La dernière note est un murmure — une bénédiction.
- Rien ne se ferme, tout reste ouvert.
Intention émotionnelle et symbolique
Pont des Âmes est une musique de réconciliation.
Elle parle de la possibilité de se tenir entre deux mondes sans devoir choisir.
Entre spiritualité et humanité, entre tradition et modernité, entre douleur et lumière.
Elle symbolise la continuité des existences, le lien invisible qui relie les êtres au-delà de la mort et du temps.
C’est aussi une musique de transmission :
transmettre ce que la vie m’a appris, non pas en paroles, mais en vibrations.
Ce morceau, c’est mon nom véritable en musique :
Ledy, celui qui remplace, celui qui continue.
Esthétiquement, il s’inscrit entre Danny Elfman (pour la magie orchestrale), Howard Shore (pour la spiritualité) et James Horner (pour l’émotion des peuples) -
mais avec ta patte, ce mélange d’âme africaine, de souffle celtique et de rigueur cinématique.
Palette sonore et textures
- Instruments principaux : kora, harpe celtique, cornemuse, tambours africains, cordes, cuivres légers, percussions orchestrales.
- Ambiance : sacrée, organique, grandiose et intime à la fois.
- Techniques : alternance de tempo naturel et métronomique, layering acoustique/orchestral, spatialisation multicouche.
- Couleurs : vert profond, or rouge, bleu céleste.
- Durée : 4 min 30.
- Style : fusion cinématique afro-celtique / orchestral spirituel.
Résonance personnelle
Pont des Âmes est le cœur battant de tout l’album.
C’est une œuvre qui parle à la fois à l’enfant du village de Zékounga et à l’homme qui compose derrière son clavier aujourd’hui.
Elle porte la trace de tous ceux qui t’ont façonné — biologiques, adoptifs, spirituels.
C’est une offrande, pas une démonstration.
Elle dit : “je ne suis pas la somme de mes pertes, je suis la continuité de leurs souffles.”
Quand j’ai terminé ce morceau, je me suis dit :
si je ne devais en garder qu’un, ce serait celui-là.
Note d’intention – Dossier professionnel (producteurs / directeurs musicaux / festivals)
Logline musicale
Grande pièce orchestrale fusion afro-celtique.
Mélange organique entre instruments traditionnels africains, sonorités celtiques et orchestre symphonique.
Thème principal basé sur l’idée du lien invisible entre les mondes.
Usage visé
Film poétique, documentaire spirituel, animation symbolique, œuvre VR immersive, cérémonie d’ouverture, bande originale culturelle.
DAW & Workflow
FL Studio : structure par blocs narratifs (intro / build / climax / fade).
Kora et harpe jouées en MIDI puis humanisées (strumming manuel).
Percussions africaines enregistrées en couches avec EQ chaud (200–400 Hz).
Automation sur brass et cordes pour montée naturelle.
Banques / Sources
Ethno World (kora, percussions), Celtic Era (harpe, cornemuse), Spitfire Symphonic Orchestra (cordes/cuivres), Kontakt Perc World.
Instrumentation clé
Kora, harpe, cornemuse, cordes, cuivres, tambours africains, percussions orchestrales.
Tonalité & Tempo
Ré majeur · 96 BPM.
Structure à paliers d’énergie (3 crescendo – 1 decrescendo).
Structure synchronisable
Intro 0:00–1:00 (kora/harpe) → 1:00–2:30 (percussions/cordes) → 2:30–3:40 (climax orchestral) → 3:40–4:30 (fade sacré).
Édits : 1:00 / 2:00 / 3:00 / 4:00.
Durées livrables
Full 4:30 · 3:00 · 1:30 (main theme).
Mix / Master
LUFS −12 (cinématique), Peak −0.8 dBTP, headroom −5 dB.
Stems : KORA / HARP / PERC / STR / BRASS / FX / AMB.
Master large, spatialisation à 60 % surround.
Émotion universelle, spiritualité vivante, orchestration organique.
Une musique du passage, un pont entre les âmes, une prière sonore pour la continuité.
Memory Dust (Poussière de Mémoire) – le lâcher-prise et la gratitude.
Bonus. Eternal Horizons (Les Horizons Éternels) – la symphonie de ma vie : un dialogue entre la kora, la harpe, la cornemuse et l’orchestre.
Le lâcher-prise, la paix, la gratitude
Genèse – Le souffle qui s’éteint sans disparaître
Ce morceau est né d’une sensation très précise : celle d’un souvenir qui s’efface, mais qui laisse de la chaleur derrière lui.
Ce n’est pas une musique de tristesse. C’est une musique de paix.
Memory Dust parle de cette matière invisible qu’on laisse partout : un rire, un regard, une mélodie, une trace.
C’est une façon de dire : tout ce que nous avons aimé continue d’exister, mais autrement.
En le composant, j’ai pensé à mes deux familles — celle de Zékounga, celle de France.
À mes parents disparus, à ceux qui ont aimé avant de s’éteindre, et à la gratitude d’être encore là, à écrire, à aimer, à transmettre.
J’ai voulu que ce morceau soit comme une poussière de lumière : légère, suspendue, éternelle.
Construction musicale – Le vent, la mémoire, la dissolution
La pièce s’ouvre sur un souffle de vent, traité comme un instrument.
Ce n’est pas un effet : c’est le tempo du monde qui s’installe.
Une harpe inversée (reverse reverb) amorce une vibration cyclique — l’impression d’un temps qui s’efface.
- Introduction (0:00 – 0:40)
- Sons atmosphériques : vent, grains, bruissements.
- Une harpe entre doucement, jouée à l’envers, chaque note semblant venir du futur pour mourir dans le passé.
- L’ambiance est éthérée, presque sans rythme.
- Développement (0:40 – 2:20)
- Des drones doux apparaissent, créés à partir de cordes filtrées.
- La cloche résonne à intervalles lents, symbolisant le passage du temps.
- Un piano spectral joue des intervalles espacés (quintes, quartes), comme des pensées isolées.
- Des voix lointaines — pas chantées, juste respirées — forment une texture humaine.
- Climax (2:20 – 3:30)
- Le son s’élargit, sans crescendo brutal : simplement plus de lumière, plus d’air.
- Les harmoniques montent lentement, puis s’éteignent une à une.
- Tout devient diaphane, comme un souvenir qui se dissout.
- Coda (3:30 – 4:10)
- Retour au vent.
- Une dernière note suspendue de harpe.
- Puis plus rien.
Intention émotionnelle et symbolique
Memory Dust n’est pas une fin, c’est une respiration infinie.
Il symbolise la transformation, le fait que rien ne disparaît vraiment — tout change de forme.
C’est le morceau du lâcher-prise, celui où tu acceptes que la beauté est fragile, que la mémoire n’a pas besoin d’être gardée pour continuer d’exister.
Là où Pont des Âmes était une prière, celui-ci est une bénédiction silencieuse.
Il clôt l’album comme un dernier regard, une main qui se détache, mais avec douceur.
Philosophiquement, c’est ton moment “Ludwig Göransson” :
une écriture atmosphérique, sensorielle, à la frontière du sound design et du sacré.
Une musique qui se ressent avant de se comprendre.
Palette sonore et textures
- Instruments principaux : harpe inversée, drones doux, piano minimaliste, cloche, textures de vent, voix respirées.
- Ambiance : aérienne, contemplative, introspective.
- Techniques : reverse reverb, granulation, EQ lente, spatialisation binaurale, résonances naturelles.
- Couleurs : gris perle, or pâle, bleu brume.
- Durée : 4 min 10.
- Style : sound design émotionnel / ambient contemplatif / musique funéraire douce.
Résonance personnelle
Ce morceau, c’est le remerciement.
Il est pour mes parents, mes ancêtres, mes enfants, ma femme, mes amis.
Pour tous ceux qui ont laissé une poussière d’amour dans ma vie.
Memory Dust me rappelle que la mémoire n’est pas un fardeau : c’est une lumière.
Quand je l’écoute, j’ai le sentiment que ma mère biologique respire quelque part dans le vent, que mon père adoptif peint encore dans un coin du ciel.
Et au fond, c’est tout ce que je voulais dire à travers cet album :
nous sommes des poussières de mémoire, mais des poussières vivantes.
Note d’intention – Dossier professionnel (producteurs / directeurs musicaux / festivals)
Logline musicale
Pièce ambient expérimentale à forte charge émotionnelle.
Mélange de sound design organique, textures inversées et harmonies suspendues.
Un final contemplatif symbolisant la dissolution et la paix intérieure.
Usage visé
Film contemplatif, générique de fin, installation immersive, projet d’art vidéo, documentaire poétique, exposition sonore.
DAW & Workflow
FL Studio : harpe inversée (reverb convolution inversée + automation wet/dry), field recordings (vent, frottement, sable).
Design sonore créé à partir de time-stretch et de granular delay.
Master binaural pour spatialisation douce.
Banques / Sources
Spitfire Labs (harp & atmosphere), Omnisphere (drones), Keyscape (piano soft), Hammers (cloche).
Instrumentation clé
Harpe inversée, piano, drones, cloche, souffle, vent.
Tonalité & Tempo
Do majeur suspendu (modale) · 58 BPM libre.
Structure cyclique : apparition / expansion / disparition.
Structure synchronisable
Intro 0:00–0:40 (vent / harpe) → 0:40–2:20 (piano / drones) → 2:20–3:30 (lumière diffuse) → 3:30–4:10 (extinction).
Édits : 0:30 / 1:00 / 2:00 / 3:00 / 4:00.
Durées livrables
Full 4:10 · 2:00 · 1:00 (loop atmosphérique).
Mix / Master
LUFS −16 (ambient), Peak −1.5 dBTP, headroom −5 dB.
Stems : HARP / PIANO / DRONES / WIND / FX / AIR.
Master spatial 3D binaural pour écoute au casque.
Signature Welan Edvee
Simplicité sacrée, souffle universel, humanité transcendée.
Une poussière de mémoire, suspendue entre la vie et l’éternité.
Bonus. Eternal Horizons (Les Horizons Éternels)
Ton autoportrait épique – Afro-celtique, orchestral, crescendo à frissons
Genèse – Le souffle des deux terres
Une harpe d’Irlande, une kora du Burkina, une corniche de cornemuse au loin — et l’orchestre qui ouvre l’horizon.
Eternal Horizons, c’est toi qui avances entre deux mondes et qui refuses de choisir : tu les relies.
La montée est organique, haletante, avec breaks, ralentissements, accélérations — comme une marche en altitude : le paysage change, l’air se raréfie, la vue s’ouvre.
Construction musicale – Crescendo, breaks, grand final
- Intro (0:00–0:45) : kora + harpe celtique en arpèges croisés, pads d’air, tambourin main. Tempo libre, souffle large.
- Éveil (0:45–1:30) : entre ostinato de cordes (violons/altos), basse chaude discrète, premières percussions africaines (calebasse, dundun doux).
- Premier thème (1:30–2:10) : cornemuse (bagpipes) expose un motif noble et simple (mode mixolydien), soutenu par cors/cordes.
- Break 1 (2:10–2:30) : chute d’orchestre → solo kora/harpe, respiration (ritardando), ré-ancrage émotionnel.
- Relance (2:30–3:10) : retour percussions + ostinato de cordes plus serré, accélération progressive (tempo +2/+3 BPM).
- Refrain épique (3:10–3:50) : bagpipes lead au-dessus de cuivres nobles, réponses de kora/harpe, roulements de timbales. Frisson, horizon ouvert.
- Break 2 (3:50–4:05) : silence rythmique, tenue harmonique, souffle…
- Grand final orchestral (4:05–4:45) : tutti : cordes pleines, cuivres larges, bagpipes en hauteur, tambours africains + perc ciné; dernière cadence large, résonance longue.
- Fade serein (4:45–5:00) : kora + harpe seules, écho du thème, poussière de lumière.
Intention émotionnelle & symbolique
Une symphonie de passage : la force de l’orchestre, l’âme de la kora, la verticalité sacrée de la cornemuse.
Le morceau respire comme un corps en mouvement : ralentir, regarder, repartir.
Pas de démonstration : transcendance humaine, gratitude, ancrage et élévation.
Palette sonore & textures
- Instruments principaux : cornemuse (lead), kora, harpe celtique, cordes (ostinato + legato), cuivres nobles (cors/trombones/trompettes), tambours africains (djembe/dundun/calebasse), percussions ciné (timbales, gran cassa), basse orchestrale, pads d’air.
- Ambiance : lumineux, héroïque, enraciné.
- Techniques : tempo “respirant” (map d’automation), layering bagpipes (dry + room), sidechain doux percs/low end, edit points nets avant chaque break.
Résonance personnelle
C’est ton cri de vie sans cris : pas de chœurs, pas de voix — la cornemuse parle pour toi.
Tu es la jonction : terre rouge & brume verte, mémoire & avenir.
Ce titre ferme la boucle : Welan Edvee = Ledy qui continue.
Note d’intention – Dossier professionnel (producteurs / directeurs musicaux / festivals)
Logline musicale
Final épique afro-celtique sans voix/ni chœur : cornemuse lead, kora/harpe en contre-chants, orchestre puissant, crescendo à frissons avec breaks et accélérations maîtrisées.
Usage visé
Trailer émotionnel, cérémonie, documentaire patrimonial, climax de film/jeu, brand film premium.
DAW & Workflow
FL Studio : structure en blocs synchrones; tempo map (rit/accel), automation macro (intensité/reverb/drive).
Écriture thème bagpipes → contre-chants kora/harpe → ostinato cordes → percs → tutti.
Banques / Sources
- Cornemuse : Celtic Era / Eduardo Tarilonte (layer dry + hall).
- Kora/Harpe : Ethno World / Celtic Era.
- Orchestre : Spitfire Symphonic/Abbey Road One, EastWest Brass.
- Percussions : Damage 2 + percs africaines (Ra / Hits custom).
Instrumentation clé
Bagpipes lead, kora & harpe (dialogue), cordes ostinato/legato, cuivres nobles, timbales/gran cassa, tambours africains, pads.
Tonalité & Tempo
Sol mixolydien → Ré majeur (modulation “lumière”).
96 BPM (±3 BPM respirations). Signature 4/4 (breaks en 2/4 ponctuels).
Structure synchronisable
0:00–0:45 intro (kora/harpe) • 0:45–1:30 build • 1:30–2:10 thème bagpipes • 2:10–2:30 break • 2:30–3:10 relance • 3:10–3:50 refrain épique • 3:50–4:05 break • 4:05–4:45 final • 4:45–5:00 fade.
Edit points propres : 0:45 / 1:30 / 2:10 / 2:30 / 3:10 / 3:50 / 4:05 / 4:45.
Durées livrables
Full 5:00 · 2:30 (main) · 1:00 (trailer) · 0:30 (sting).
Mix / Master
LUFS −11 (ciné/trailer), Peak −0.8 dBTP, headroom −5 dB.
Stems : BAGPIPES / KORA+HARP / STR / BRASS / AFR PERC / TIMP+G.CASSA / BASS / PADS / FX.
Room : convolution scoring stage; M/S sur bas médium pour laisser respirer la cornemuse.
Épique humain, pont afro-celtique, écriture “respirante”, refrain inoubliable.
Un grand final orchestral — digne d’un horizon qui ne finit pas.
THE MOTION WITHIN – Le Mouvement Intérieur
Un manifeste musical et humain
Ce que je veux partager
Cet album est à la fois vitrine professionnelle et offrande intime.
Il montre ce que je sais faire, mais surtout ce que je ressens.
Chaque morceau est né de mon histoire :
de mes origines africaines, de mon amour pour la musique celtique,
de ma fascination pour le cinéma, et de mon parcours d’homme, de père et de mari.
The Motion Within n’est pas qu’un projet :
c’est un héritage sonore, une manière de dire merci à ceux qui m’ont précédé,
et d’offrir à ceux qui viendront après un peu de ce souffle.
Parce que derrière chaque note, il y a cette phrase simple :
“Je viens de loin, mais je compose pour demain.”
L’intention
The Motion Within est né d’un besoin : réunir mes mondes et les faire dialoguer.
Ce n’est ni une démonstration technique ni une compilation de styles,
mais un récit intérieur, une traversée émotionnelle où chaque morceau est une étape.
De la pulsation du départ (The Journey Begins) à la poussière du souvenir (Memory Dust),
tout ici parle de vie, de transmission, d’équilibre et de lien entre les mondes.
Derrière Welan Edvee, il y a Sylvain Ledy Berry – Cabre :
né à Zékounga, petit village du Burkina Faso,
adopté puis réadopté, élevé entre la terre rouge et la brume verte,
entre la kora et la harpe, le rythme africain et l’émotion orchestrale.
The Motion Within est le pont entre ces mondes :
une musique enracinée et céleste, intime et universelle.
L’âme de l’album
Ici, l’Afrique et l’Europe ne s’opposent pas — elles se répondent.
La kora dialogue avec la harpe,
la cornemuse plane au-dessus des tambours africains,
les cordes symphoniques se mêlent au souffle du vent du Sahel.
C’est un album cinématique et sensoriel, mais avant tout humain.
Il invite à écouter le monde avec lenteur, à ressentir les nuances,
à comprendre que chaque émotion, même silencieuse, a une voix.
Une philosophie sonore : le contextualisme musical
En tant qu’éducateur et compositeur, je suis contextualiste.
Je crois qu’aucun son, aucune émotion, aucune personne n’existe hors contexte.
Chaque instrument a ici un sens :
la kora porte mes racines,
la harpe incarne la douceur de mes mères,
la cornemuse devient le souffle de mes pères.
Tout est relié.
Rien n’est décoratif : chaque timbre est une mémoire,
chaque silence une trace de vie.
Les émotions comme matière première
Je n’ai pas cherché à composer des musiques parfaites.
J’ai cherché à composer des musiques vraies.
Des musiques où le silence respire, où la faille est belle,
où la lumière n’efface pas la douleur, mais la transforme.
The Motion Within parle du vivant, pas de la perfection.
Il parle de nous — des êtres en mouvement, fragiles et lumineux à la fois.
Le cycle
L’album s’ouvre sur le courage du premier pas (The Journey Begins),
traverse la mémoire et la tendresse (Echoes of Home),
explore la connexion au vivant (Whispers of the Earth),
célèbre la transmission (Human Threads),
plonge dans la tension et la vérité (Shadows & Mirrors),
se dénude sur la scène de la sincérité (Breath of Stage),
et s’élève dans la fusion sacrée (Pont des Âmes).
Puis vient le souffle du souvenir (Memory Dust),
avant de s’ouvrir sur l’infini avec Eternal Horizons,
ton autoportrait orchestral — une élévation sans mots,
là où les mondes s’unissent dans un dernier souffle de cornemuse et de kora.
Une œuvre à écouter, pas à consommer…
Cet album n’est pas fait pour être “écouté vite”.
Il demande du temps, du silence, une écoute pleine.
Il peut accompagner une marche, un moment d’introspection, une prière, un souvenir.
The Motion Within est un espace : un lieu pour respirer, réfléchir, se relier.
Une bande-son pour ceux qui traversent,
ceux qui doutent,
ceux qui espèrent encore.
Conclusion
The Motion Within est un album de gratitude et de réconciliation.
Il relie le passé et l’avenir, l’humain et le sacré, le proche et l’universel.
C’est un hommage à mes parents, à mes enfants, à mes racines et à mes chemins.
Une phrase résume tout :
“Le mouvement est en nous — il suffit d’écouter pour le ressentir.”
Signature
Bonne écoute,
Welan Edvee (Sylvain Ledy Berry – Cabre)
Compositeur, éducateur, contextualiste.
Entre deux continents, entre deux souffles, entre deux mondes.
“Feel That.”
Album vitrine & intime de Welan Edvee : fusion afro-celtique et orchestral, récit d’origines et de transmission. Une bande-son du souffle et du lien.